Un goûter “Reine des Neiges”
2/10/2014




« Libérééééééeeeee, délivréééééeeeee je ne mentirai plus jamais »… Si vous n’avez pas d’enfant, ni nièce-cousine-filleule-petite-fille-de-moins-de-dix-ans dans votre entourage, alors vous n’allez rien comprendre à cet article. Le monde se divise ainsi en deux depuis quelques mois. Ceux qui connaissent par cœur la bande musicale du film La Reine des Neiges (parfois plusieurs morceaux de la bande musicale. Parfois même dans plusieurs langues. Si, si, je ne plaisante pas – une pensée pour mon amie Virginia dont les filles maitrisent les chansons en italien, en anglais, en français et en japonais !). Et ceux, les épargnés, qui ne savent rien d’Olaf le bonhomme de neige ni des pouvoirs givrés d’Elsa. Je ne comprends toujours pas le succès de ce film Disney qui me semble bien moins bon que d’autres. J’imagine que ça tient aux organes des chanteuses justement – un genre de voix hybride entre Lara Fabian et Britney Spears, tout ce que j’aime, merci la vie – qui ne nous épargnent aucune modulation, aucune montée d’octave. Bref : ma fille adore.
Photographies Lili Barbery-Coulon. La table du goûter et les petites reines des neiges déchainées




Photographies Lili Barbery-Coulon. La pinata bonhomme de neige trouvée sur Annikids et les détails de la table du goûter (les chamallows trempés dans du chocolat, je les ai réalisés avec ma fille en imitant une idée de Chez Bogato)


Photographie Lili Barbery-Coulon. La table après le passage de la marmaille





Photographies Lili Barbery-Coulon. L’atelier ceinture reine des neiges, et in situ dans de la satinade made in China (la matière préférée des petites filles de cet âge là)


Photographie Lili Barbery-Coulon



Photographie Lili Barbery-Coulon. L’atelier boîte à trésors (sur un set de table trouvé ici)


Photographie Lili Barbery-Coulon. La déco de la porte d’entrée